Interviou c’est quoi, outre le fait que ce soit un mot mal écrit ? C’est un lieu où vous pourrez lire ou visionner des petites discussions avec des artistes ou des gens de talent. J’espère que cette chronique vous fera découvrir de nouvelles personnes et de nouvelles façons de penser. Biz.
Aujourd’hui on retrouve JC Pieri, photographe et vidéaste marseillais, ambassadeur GoPro, à qui on a posé quelques questions !
JC, tu as travaillé pour RedBull et GoPro, qu’est ce que ça t’a apporté ?
Je suis originaire du monde du sport extreme, c’est comme cela que j’ai pu avoir l’opportunité de travailler pour ces marques là.
Redbull est une marque très prestigieuse pour un rider et forcément cela est très important d’avoir l’occasion de travailler avec eux.
GoPro ma proposé de devenir ambassadeur et représenter la marque. Encore une fois c’est un très grande satisfaction de savoir que son travail intéresse de telles entreprises.
Redbull est une marque très prestigieuse pour un rider et forcément cela est très important d’avoir l’occasion de travailler avec eux.
GoPro ma proposé de devenir ambassadeur et représenter la marque. Encore une fois c’est un très grande satisfaction de savoir que son travail intéresse de telles entreprises.
Ton plus beau voyage ?
Je suis fasciné par la glace, je retiendrais donc mes deux voyages en Islande et mes deux voyages à Svalbard une île située entre l’Islande et le Groenland. Des paysages de glace à perte de vue.


Ton premier matos et ton matos actuel ?
Ma première caméra était un caméscope Canon qu’on avait offert à mon père pour ses 50ans.
Plus personne n’utilise cela aujourd’hui !
Maintenant je suis resté chez Canon avec un Canon 1dxmark2.
Tu peux nous donner une liste de qualités qui te semblent essentielles dans ton métier ?
Tout d’abord la passion, si tu n’es pas passionné, tu ne peux pas réussir et avoir cette envie de continuer.
Ensuite la rigueur, la créativité et surtout la réactivité.
J’imagine que tu as eu des moments compliqués, quelques galères. Est-ce que tu pourrais nous citer la plus éprouvante ?
Les plus éprouvantes sont sûrement ce que les gens ne voient pas, les transports, les heures dans les aéroports, les heures à faire et refaire ses valises pour repartir quelques heures plus tard sans ne jamais rien oublier.
En 2017 j’ai pris 90 fois l’avion, ce qui représente avec les heures d’attentes, etc , plus de 1 mois dans les avions ou aéroports.
Aujourd’hui tu t’en sens satisfait de ce que tu as entrepris ou tu vois encore plus loin ?
On est jamais satisfait et si on l’est c’est qu’on est arrivé à son maximum. Alors que nos métier changent constamment, les tendances, nos envies etc.
Je trouve que de plus en plus les vidéos que je fais ou que je regarde ne racontent rien de spécial. C’est peut être beau esthétiquement mais le fond a aussi son importance.
Voila pourquoi mon but ultime est le cinéma : de vraies histoires avec de belles images.
Tu rêves d’être réalisateur de films, as-tu des projets de court ou long métrages qui arrivent ?
J’ai écris deux long-métrages et j’espère pouvoir réaliser le plus simple cette année avec une équipe d’amis.
Je vais me focaliser sur cela cette année.
La première pluie, ça t’évoque quelle sensation ? Tu peux l’exprimer avec des photos et des photographies.
La première pluie pour moi, ça pourrait représenter le fait de devoir se lancer dans la première idée que nous avons. Parfois il ne faut pas hésiter, même s’il faut réfléchir pour faire les choses bien, parfois la première idée est la bonne mais on a peur de se lancer.

Instagram: @jcpieri
Facebook: @jc pieri visual
Pauline Gauer – Interviou