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Comme un grand labyrinthe sans parois ou tout serait beaucoup plus agréable que les situations décrites dans les chansons. La musique remède, jolie assemblages de plantes en plages. Cataplasmes sur les cataclysmes. On y parle alcools ascendant Apollinaire par exemple. Bref et spontané, ça donne des airs entêtants. La présence de chœurs en grande proportion rajoute un effet « appel des sirènes » archi-obsédant. Album de dandy musical qui salue la beauté à toutes les heures. 

Voilà ce que nous écrivions le vendredi de la sortie d’À terre, le second album d’Olivier Marguerit. 

L’avoir rencontré, dans l’interview en préambule de cet article a été éclairant pour comprendre l’album. Au travers des questions, l’entendre évoquer les choeurs grecs du théâtre pour parler des choeurs qu’il utilise dans sa musique. L’écouter aussi évoquer l’idée de la chute dans cet album, contrebalancée par une fin porteuse d’espoir. Il dit l’ivresse joyeuse et le métro qui ramène de lieux heureux qui pousse à l’écriture, il parle d’états, de sentiments, d’odeurs. C’est chargé en poésie, de discuter avec Olivier Marguerit.


Son album À terre, est paru le 1er février (Vietnam sous licence exclusive de Because Music), vous pouvez l’écouter ici : 


Arthur Guillaumot